Nouvel (et dernier ?) opus de la “Beat Generation” initié avec la fumigation de sauge de Californie, Shaman, poursuivi avec la bougie Beatnik, voici l’eau de parfum Junky. Junky interprète la dépendance olfactive, parallèle avec la dépendance à la drogue, traitée dans l’oeuvre hallucinée de William Burroughs. En effet, le parfum peut créer une véritable dépendance. Ne dit-t-on pas qu’on est “addict” à telle ou telle fragrance ?
Junky mêle les notes de cannabis, bois de rose
et galbanum en tête, puis en coeur, l’iris, la violette et le gardénia et
enfin, en fond, le bois de cachemire, le bois de cèdre, le vétiver de Java,
l’opoponax, l’oliban, le bois de cade et la mousse.
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